C'est arrivé un 3 septembre
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C'est arrivé un 3 septembre
3 septembre 401 avant JC : Les Dix Mille et le début de l'Anabase
Le 3 septembre de l'an 401 avant JC, les Dix Mille, mercenaires grecs au service d'un prince perse, livrent combat à Canouxa, en Mésopotamie, du côté de Babylone. Battus, ils décident de rentrer dans leur pays. Leur équipée va donner lieu à un récit devenu nom commun : L'Anabase.
- Défaite
À l'origine de l'équipée, il y a la mort d'un roi perse, Darius II, lointain descendant de l'illustre fondateur de la dynastie achéménide, Cyrus II le Grand. Son fils aîné Artaxerxès Mnémon lui succède mais son autre fils Cyrus ne l'entend pas de cette oreille et lève des troupes pour faire valoir ses droits. C'est ainsi qu'il engage les Dix Mille, des Grecs essentiellement originaires de Sparte et du Péloponnèse.
Le combat décisif, à Canouxa, se solde par la mort de Cyrus et la débâcle de ses troupes.
Les mercenaires grecs, livrés à eux-mêmes après la mise à mort de leurs principaux chefs par un satrape perse, hissent à leur tête des hommes neufs tel Xénophon. Ils décident de rentrer chez eux par les confins de l'empire perse, en rejoignant le Pont-Euxin (la mer Noire).
Au total, en deux ans, les survivants, au nombre d'environ cinq mille, auront parcouru plus de 6000 kilomètres avant d'atteindre le royaume grec de Pergame et les rivages de la mer Égée.
L'Anabase (d'un mot grec qui désigne une marche vers le haut) raconte ce tragique retour. L'auteur en est Xénophon qui, lui-même, prit part à l'aventure et guida ses compagnons d'infortune sur le chemin du retour. Sa justification tient en quelques mots : «Il est doux, quand on a dit et fait quelque chose de viril et de beau, de laisser un souvenir de soi dans l'âme de ceux où l'on désire qu'il survive».
L'ouvrage, en sept parties, n'est pas seulement un récit d'aventures. C'est aussi une description précise de l'empire perse et de ses peuples. Elle va être mise à profit plus tard par Alexandre le Grand, lorsque celui-ci offrira aux Grecs une revanche sur les Achéménides.
- Xénophon, l'énergie au service de la pensée
Xénophon d'Athènes, chef et chroniqueur de l'Anabase est un personnage hors du commun, un homme de grande culture qui allie l'action à la réflexion, la plongée dans l'actualité à la création littéraire et philosophique.
Né près d'Athènes, en 430 avant JC, dans une famille aristocratique, il suit l'enseignement de Socrate avant de rejoindre l'expédition des Dix Mille. De retour en Grèce, il se met au service du roi de Sparte Agésilas, ennemi juré d'Athènes, en 396 avant JC. Quelques années plus tard, il se retire dans un domaine dont les Spartiates lui ont fait don, à Scillonte, en Élide. Là, entouré de sa femme et de ses deux fils, il va pendant vingt ans rédiger ses différents ouvrages.
Outre l'Anabase, il écrit l'Apologie de Socrate, différents traités d'économie, de politique et de stratégie (L'Économique....), d'équitation (L'Hipparque et De l'Art Equestre) ainsi que des ouvrages sur l'histoire de la Grèce (Agésilas, Les Helléniques [la suite de La guerre du Péloponnèse par Thucydide]....). En 371, la guerre ayant éclaté entre Sparte et Elis, Xénophon s'en va à Corinthe. Il disparaît vers l'âge de 75 ans, en 355 avant JC, au moment où Philippe II de Macédoine s'apprête à mettre la main sur les cités grecques.
D'une anabase à l'autre
Depuis deux millénaires, hommes de lettres et commentateurs utilisent l'expression anabase pour qualifier des marches militaires un tant soit peu épiques ou héroïques.
Ainsi en est-il de la retraite de Russie ou encore de la chevauchée ravageuse de l'amiral de Coligny de la Guyenne à la Bourgogne pendant les guerres de religion. L'expression pourrait aussi s'appliquer à la Longue marche des communistes chinois et de Mao Zedong.....
3 septembre 1783 : Les États-Unis indépendants
Le 3 septembre 1783, à Versailles, au nom des rois Louis XVI et George III et en présence des représentants de l'Espagne, le comte de Vergennes et le comte de Manchester signent un traité qui met fin à la guerre d'Indépendance des Treize Colonies anglaises d'Amérique du Nord.
Le matin de ce même jour, Benjamin Franklin et John Jay, représentants des Insurgents américains, ont rencontré l'ambassadeur britannique David Hartley dans sa résidence parisienne, rue Jacob. Ils ont obtenu la reconnaissance par l'Angleterre de l'indépendance des États-Unis d'Amérique.
Les États-Unis sont admis dans le concert des nations mais leur union est encore très fragile. Quatre années leur seront encore nécessaires pour mettre au point une Constitution et créer une véritable fédération. Le premier président de la nouvelle République, Georges Washington, ne prendra ses fonctions qu'en 1789.
Les jeunes États-Unis constituent à ce moment de leur Histoire un ensemble composite de territoires presque vides et de villes d'à peine quelques milliers d'habitants (la plus grande ville, Philadelphie, en a 40.000) sans guère de voies de communication entre elles. Il faut compter une bonne semaine pour aller de Boston à New York.
Au total 3,3 millions de citoyens d'origine européenne, 700.000 esclaves d'origine africaine et quelque milliers d'Indiens en voie de refoulement ou d'extermination.
Par le traité de Versailles, la France, rivale de l'Angleterre, prend sa revanche sur le traité de Paris qui lui avait enlevé vingt ans plus tôt le Canada, la Louisiane et bien d'autres colonies.
Le jeune roi Louis XVI savoure le succès de l'insurrection américaine et de ses propres concitoyens.
Vingt ans plus tôt, à la faveur du traité de Paris, en effet, elle a reçu de nouvelles colonies dispersées de par le monde et très diverses par leur culture et leurs traditions. Ne se contentant plus d'envoyer des immigrants vers des terres à peu près vierges, Londres s'applique désormais à gouverner les populations indigènes par procuration.
Le joyau du deuxième empire britannique est constitué par les Indes orientales (aujourd'hui, l'Union indienne, le Pakistan, le Bangladesh, Sri Lanka et la Birmanie)
Le matin de ce même jour, Benjamin Franklin et John Jay, représentants des Insurgents américains, ont rencontré l'ambassadeur britannique David Hartley dans sa résidence parisienne, rue Jacob. Ils ont obtenu la reconnaissance par l'Angleterre de l'indépendance des États-Unis d'Amérique.
- Naissance d'un nouvel État
Les États-Unis sont admis dans le concert des nations mais leur union est encore très fragile. Quatre années leur seront encore nécessaires pour mettre au point une Constitution et créer une véritable fédération. Le premier président de la nouvelle République, Georges Washington, ne prendra ses fonctions qu'en 1789.
Les jeunes États-Unis constituent à ce moment de leur Histoire un ensemble composite de territoires presque vides et de villes d'à peine quelques milliers d'habitants (la plus grande ville, Philadelphie, en a 40.000) sans guère de voies de communication entre elles. Il faut compter une bonne semaine pour aller de Boston à New York.
Au total 3,3 millions de citoyens d'origine européenne, 700.000 esclaves d'origine africaine et quelque milliers d'Indiens en voie de refoulement ou d'extermination.
- L'Amérique du nord à la fin du XVIIIe siècle
Cette carte témoigne des affrontements entre Européens (Anglais, Espagnols et Français) pour la domination du continent nord-américain. La Nouvelle France tombe sous la tutelle de Londres et devient The Province of Quebec cependant que les Treize Colonies anglaises obtiennent en 1783 leur indépendance sous le nom d'États-Unis d'Amérique. |
- Revanche française
Par le traité de Versailles, la France, rivale de l'Angleterre, prend sa revanche sur le traité de Paris qui lui avait enlevé vingt ans plus tôt le Canada, la Louisiane et bien d'autres colonies.
Le jeune roi Louis XVI savoure le succès de l'insurrection américaine et de ses propres concitoyens.
La Fayette, Rochambeau, l'amiral de Grasse, le comte d'Estaing, le général Duportail, le commandant Pierre L'Enfant, l'écrivain Beaumarchais et bien d'autres Français ont payé de leur personne pour libérer les Treize Colonies de la tutelle de Londres. Mais cette aide a coûté très cher et le roi de France commence à se demander comment il va assainir ses finances. A peine cinq ans plus tard, il est obligé de convoquer les états généraux pour étudier une réforme des impôts. C'est ainsi que l'Indépendance américaine conduit à la Révolution française ! Avec le traité de Versailles, l'Angleterre perd l'essentiel de son premier empire colonial. Mais par un fabuleux retournement de situation, elle jette dans le même temps les bases d'un deuxième empire colonial encore plus prestigieux. |
- Le deuxième empire colonial anglais
Vingt ans plus tôt, à la faveur du traité de Paris, en effet, elle a reçu de nouvelles colonies dispersées de par le monde et très diverses par leur culture et leurs traditions. Ne se contentant plus d'envoyer des immigrants vers des terres à peu près vierges, Londres s'applique désormais à gouverner les populations indigènes par procuration.
Le joyau du deuxième empire britannique est constitué par les Indes orientales (aujourd'hui, l'Union indienne, le Pakistan, le Bangladesh, Sri Lanka et la Birmanie)
3 septembre 1928 : Alexander Fleming découvre la pénicilline
Le 3 septembre 1928, le docteur Alexander Fleming, 47 ans, de retour de vacances, retrouve son laboratoire de Saint-Mary's Hospital, à Londres.
Il constate que les boîtes de Petri, où il faisait pousser des staphylocoques, ont été envahies par des colonies cotonneuses d'un blanc verdâtre. C'est qu'elles ont été contaminées par les souches d'un champignon microcospique, le penicillium notatum, qu'utilise son voisin de paillasse.
Avant de les jeter, Fleming y jette un coup d'oeil et s'aperçoit qu'autour des colonies, le staphylocoque ne pousse pas ! Il émet alors l'hypothèse qu'une substance sécrétée par le champignon en est responsable. Il l'appelle aussitôt «pénicilline».
L'année suivante, Fleming publie le compte-rendu de sa découverte mais sans en mesurer la portée. Pendant une dizaine d'années, la pénicilline ne va servir qu'à isoler en laboratoire la bactérie B. influenzae, qui seule résiste à son action.
Le 25 mai 1940, Florey injecte une dose mortelle de streptocoques à huit souris. Il en traite deux avec une injection de pénicilline et deux autres avec plusieurs injections répétées de pénicilline. Au bout de dix heures, ces dernières survivent ainsi que l'une de celles qui ont reçu une seule dose. À 3h 45 du matin, le jeune savant note fébrilement en marge de son cahier de laboratoire : «It looks like a miracle !» (Ça a l'air d'un miracle !).
En toute hâte, l'équipe publie ses résultats dans la revue Lancet le 24 août 1940... et comme l'on peut s'y attendre, leur article tombe à plat. L'Angleterre est bombardée par l'aviation allemande et menace d'être envahie d'un moment à l'autre. Autant dire que le public a d'autres sujets de préoccupations que les vertus de la pénicilline. Qu'à cela ne tienne, les chercheurs guérissent un adolescent de 15 ans présentant une suppuration du col du fémur, mais leurs progrès se heurtent à la difficulté de produire la pénicilline en quantité suffisante... et, du fait de la guerre, ils ne peuvent guère compter sur l'appui des pouvoirs publics et des industriels.
Florey, tenace, s'embarque pour les États-Unis et entre en relation avec une usine chimique de Peoria, dans l'Illinois, spécialisée dans l'épuration biologique des eaux usées grâce à des bactéries spécialisées.
Première d'une nouvelle famille de médicaments qualifiés d'antibiotiques, elle participe au sauvetage de nombreux blessés sur le front. Elle ouvre aussi la voie à la guérison de nombreuses maladies comme la tuberculose ou la syphilis.
On estime que les antibiotiques, découverts par inadvertance par Alexander Fleming, ont permis de prolonger d'une dizaine d'années l'espérance de vie des hommes. Le savant a été anobli et, en 1945, a reçu le prix Nobel de physiologie-médecine avec Chain et Florey.
Il constate que les boîtes de Petri, où il faisait pousser des staphylocoques, ont été envahies par des colonies cotonneuses d'un blanc verdâtre. C'est qu'elles ont été contaminées par les souches d'un champignon microcospique, le penicillium notatum, qu'utilise son voisin de paillasse.
Avant de les jeter, Fleming y jette un coup d'oeil et s'aperçoit qu'autour des colonies, le staphylocoque ne pousse pas ! Il émet alors l'hypothèse qu'une substance sécrétée par le champignon en est responsable. Il l'appelle aussitôt «pénicilline».
L'année suivante, Fleming publie le compte-rendu de sa découverte mais sans en mesurer la portée. Pendant une dizaine d'années, la pénicilline ne va servir qu'à isoler en laboratoire la bactérie B. influenzae, qui seule résiste à son action.
- Un miracle
En 1936, Howard Walter Florey, 48 ans, professeur de pathologie à Oxford, originaire d'Australie, engage un biochimiste allemand de 30 ans qui a fui le nazisme, Ernst Boris Chain. Ce dernier saisit l'intérêt de la pénicilline pour la santé humaine. Avec Florey et deux bactériologistes, Edward P. Abraham et Norman Heatley, il entreprend de purifier la pénicilline en vue de l'utiliser au mieux de ses possibilités. En mars 1940, l'équipe réussit à en produire... 100 milligrammes ! |
En toute hâte, l'équipe publie ses résultats dans la revue Lancet le 24 août 1940... et comme l'on peut s'y attendre, leur article tombe à plat. L'Angleterre est bombardée par l'aviation allemande et menace d'être envahie d'un moment à l'autre. Autant dire que le public a d'autres sujets de préoccupations que les vertus de la pénicilline. Qu'à cela ne tienne, les chercheurs guérissent un adolescent de 15 ans présentant une suppuration du col du fémur, mais leurs progrès se heurtent à la difficulté de produire la pénicilline en quantité suffisante... et, du fait de la guerre, ils ne peuvent guère compter sur l'appui des pouvoirs publics et des industriels.
- Le hasard fait bien les choses
Florey, tenace, s'embarque pour les États-Unis et entre en relation avec une usine chimique de Peoria, dans l'Illinois, spécialisée dans l'épuration biologique des eaux usées grâce à des bactéries spécialisées.
Un jour, une femme apporte au laboratoire de l'usine un melon recouvert d'une moisissure à l'aspect inhabituel. Les chercheurs identifient la moisissure : elle a nom penicillium chrysogenum. Et ils découvrent qu'elle a la faculté de produire 200 fois plus de pénicilline que la penicillium notatum ! Il devient dès lors possible de produire la pénicilline à l'échelle industrielle. Les laboratoires américains Merck, Pfizer et Squibb se lancent les premiers dans l'aventure. Très vite, la pénicilline est mise à profit pour guérir les malades victimes de maladies microbiennes et d'infections. |
On estime que les antibiotiques, découverts par inadvertance par Alexander Fleming, ont permis de prolonger d'une dizaine d'années l'espérance de vie des hommes. Le savant a été anobli et, en 1945, a reçu le prix Nobel de physiologie-médecine avec Chain et Florey.
3 septembre 1939 : Déclaration de guerre à l'Allemagne
Le 3 septembre 1939, suite à l'agression de la Pologne, la Grande-Bretagne puis la France déclarent la guerre à l'Allemagne. Les hommes répondent sans joie mais avec détermination à l'ordre de mobilisation. Certains pacifistes manifestent néanmoins leurs réticences, tel le polémiste Marcel Déat, qui publie dans L'Oeuvre, en août 1939, un article intitulé : « Faut-il mourir pour Dantzig ? ».
Dans les mois précédents, sous la pression de l'opinion, Neville Chanberlain, Premier ministre de Sa Majesté Georges VI, et son secrétaire au Foreign Office Lord Halifax avaient dû mettre en sourdine leurs tentatives de conciliation avec Hitler et la politique d'appeasement illustrée par les accords de Munich.
La Wehrmacht ayant violé les frontières de la Pologne, Londres envoie un ultimatum à Berlin en suggérant une ultime conférence internationale ! Hitler dédaignant de répondre, la guerre est de facto déclarée à l'expiration de l'ultimatum, le 3 septembre à 11 heures.
Le Président du Conseil français Édouard Daladier et son ministre des affaires étrangères Georges Bonnet demandent au président de la République Albert Lebrun de déclarer à son tour la guerre au nom des engagements internationaux de la France (et sans consulter le Parlement). C'est chose faite à 17h.
Les troupes franco-anglaises, sous le commandement du général Maurice Gamelin (68 ans), ancien vainqueur de la Marne aux côtés de Joffre, ne profitent pas de ce que le front occidental est dégarni, la Wehrmacht étant presque toute entière occupée à envahir la Pologne. Les soldats se tiennent l'arme au pied derrière la ligne Maginot et traînent leur ennui, au grand désespoir des Polonais. C'est la « drôle de guerre », d'après une expression de Roland Dorgelès. Elle prendra fin dans des conditions tragiques le 10 mai 1940 avec l'invasion allemande.
Dans les mois précédents, sous la pression de l'opinion, Neville Chanberlain, Premier ministre de Sa Majesté Georges VI, et son secrétaire au Foreign Office Lord Halifax avaient dû mettre en sourdine leurs tentatives de conciliation avec Hitler et la politique d'appeasement illustrée par les accords de Munich.
La Wehrmacht ayant violé les frontières de la Pologne, Londres envoie un ultimatum à Berlin en suggérant une ultime conférence internationale ! Hitler dédaignant de répondre, la guerre est de facto déclarée à l'expiration de l'ultimatum, le 3 septembre à 11 heures.
Le Président du Conseil français Édouard Daladier et son ministre des affaires étrangères Georges Bonnet demandent au président de la République Albert Lebrun de déclarer à son tour la guerre au nom des engagements internationaux de la France (et sans consulter le Parlement). C'est chose faite à 17h.
Les troupes franco-anglaises, sous le commandement du général Maurice Gamelin (68 ans), ancien vainqueur de la Marne aux côtés de Joffre, ne profitent pas de ce que le front occidental est dégarni, la Wehrmacht étant presque toute entière occupée à envahir la Pologne. Les soldats se tiennent l'arme au pied derrière la ligne Maginot et traînent leur ennui, au grand désespoir des Polonais. C'est la « drôle de guerre », d'après une expression de Roland Dorgelès. Elle prendra fin dans des conditions tragiques le 10 mai 1940 avec l'invasion allemande.
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