L'accueil à la Française

Paris, une fois avait cimetières à chaque coin, plutôt la façon dont Londres avait une fois de pubs, mais quand à la population sans cesse croissante de cette devenu un danger pour la santé, Paris au moins changé les choses. Dans le milieu du XIXe siècle, la plupart des cimetières du centre-ville ont cessé de recevoir des tombes nouvelles, et que toutes les inhumations ont été envoyés à de nouveaux cimetières en dehors du centre de la ville. Parmi les rares qui continuent d'opérer au sein de la ville sont du Père Lachaise, Montparnasse, Montmartre, et le cimetière dans le 16ème arrondissement. Ils servent désormais non seulement comme les cimetières, mais aussi précieux du centre-ville des espaces verts (pas de pique-nique autorisé, évidemment).

Récemment, nous essayions de trouver la tombe d'un homme qui est mort en 1889. Notre recherche a révélé qu'il a été enterré dans le cimetière du Montparnasse , une vaste zone de plus de 45 hectares dans le 14ème arrondissement. Nous avons eu le numéro de division, le numéro de section, et le nombre tombe. Cependant, seuls les divisions, qui détiennent des centaines de tombes, sont marqués. Imperturbable, nous nous sommes promenés toute la division, en prenant tout d'un après-midi, or, automne, samedi, certain de trouver notre homme. Bien sûr, nous ne pouvions pas.

Les touristes se promenaient par la recherche de nombreuses tombes de la célèbre. Il y avait des tombes à queue avec la sculpture, un couple avec des morceaux de bande dessinée folle, beaucoup de dalles de marbre, de nombreux anciens, pierres à peine lisible, et certains qui ont été brisées, illisible, avait à rayures rouges bande à travers eux, et l'avis de sinistre que si personne ne s'avança à payer pour la réparation et l'entretien de la tombe serait vidé et revendu la parcelle. Cimetière du Montparnasse a eu, selon le site officiel, plus de 350.000 sépultures dans ses presque 200 ans d'existence. Le site se vante qu'il a actuellement 35 000 tombes. Hum, ce qui est arrivé à la quatre-vingt pour cent restants, nous nous sommes demandés?

Le lundi suivant, lorsque le Bureau fut ouvert, nous sommes retournésposer des questions sur notre homme. Il était un pauvre garçon, qui n'aurait sûrement pas été en mesure de payer une pierre tombale.
La plupart de ses proches semble avoir quitté Paris, il était donc peu probable que quelqu'un avait été là pour prendre soin de sa tombe. Nous avons craint le pire, mais il a demandé de toute façon. Une femme était à la réception et au début, gémit à notre demande de savoir exactement où, parmi les 35 000, sa petite tombe peut-être. Soulagé que nous avons eu le nom complet de l'homme et la date de la mort, elle sourit et s'en alla chercher dans les fichiers. Elle nous a averti, cependant, que l'administration du cimetière ne conserve aucune information sur les personnes ensevelies ou de leur famille ou qui ont payé pour l'intrigue à l'origine.

En effet, sa tombe a été l'un de ceux qui, après 112 ans et aucun préavis de la part de l'administration du cimetière, supprimés. "Il était en ruines, les pierres ont été brisées», la dame nous a informés, sur la défensive.
Nous lui avons demandé ce qui était fait avec le reste.
Elle nous a dit qu'ils avaient été enlevés le respect et l'intrigue revendus.

Les restes ont-ils été enlevés et redéposés ailleurs dans le respect et la dignité ?
Au Père Lachaise , sur la côte orientale de Paris, nous avons demandé s'il n'y aurait pas être un marqueur ou une liste, de ces restes déposées dans l'ossuaire. « Vous rigolez ous quoi? "dit-elle, exaspérée par mon questionnement. ("Vous plaisantez ou quoi?")
Et puis notre matrone fit un geste d'un bras de balayage vers le bas, nous faisant signe de déguerpir.

2009, Anne Morddel